PHOTOGRAPHE D'ARCHITECTURE/DRONE/REPORTAGE
T R A V A I L P E R S O N N E L
LE BERGER DE L'IZOARD
Un jour le berger gardait son troupeau sous la route du col de l'Izoard. D’un coup, une moto tomba à ses pieds ! Il monta vite à la route pour connaître l'état du pilote. Dans le virage ou a lieu l’accident, était posté un photographe qui prenait en photo motards et cyclistes. Tous deux, berger et photographe inquiets, ont tout de suite apporté leur soutien au motard accidenté dans l'attente des secours.
Cet accident a permis une rencontre de deux personnes, de deux métiers, et de constater de nombreuses affinités.
Nous avons décidé de faire un livre photo sur l'estive de Julien, livre actuellement en vente.
Pour vous procurer un exemplaire sur mon site marchand : http://www.izoardphotos.com/product/8/livre-berger-izoard.html
LIVRE DU QUARTIER BERWICK
Editeur : Edition du Fournel
Date de publication : 02 novembre 2017
Dimension du produit (Lxlxh) : 20,9x1x25cm
Nombre de page : 113
Résumé :
Documentaire photographique, consistant à un archivage historique du quartier Berwick futur “cœur de ville” de Briancon.
C’est aussi le regard subjectif du photographe qui fait découvrir une poétique des lieux reposant sur la conservation des traces de l’activité des militaires de la garnison du 159ème RIA; conjugaison d’un passé révolu et d’un présent en évolution. Etayée de témoignages d’anciens militaires.
Livre en ventre : https://brianconnais.moncommercantchezmoi.fr/produits/mur-mures/
L'USINE DE LA SCHAPPE
En tant que photographe, je veux présenter des images du patrimoine industriel désaffecté de la ville basse de Briançon. Ce bâtiment a perdu sa fonction première de production (on nomme schappe le produit obtenu après travail des déchets de soie), mais a gardé sa morphologie et son occupation de l’espace dans la ville. Espaces vides, sols poussiéreux, planchers défoncés, murs dégradés, fenêtres disloquées, poutres rouillées, restes d’équipements industriels à l’abandon ; l’usine de la Schappe semble souffrir en silence. Mais ce silence est relatif : à travers mes images du lieu, nous percevons une architecture industrielle fonctionnelle et majestueuse, mais aussi les traces des différents temps :
- temps industriel (jusqu’ en 1933, date de l’arrêt de l’activité industrielle) ;
- temps de travaux inachevés de réhabilitation ;
- temps d’une prise de possession intermittente et ludique du lieu.